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Prime tenant et champion de l’accord « médiéval fantastique + vin », Bon Enfant s’est dévoilé à l’automne 2019 avec un premier album homonyme sous Duprince - célébré comme meilleur franco de l’année par Le Devoir et récompensé du Lucien de l’Album rock de l’année au GAMIQ. Ça a été fulgurant, mais c’était issu d’une gestation d’un bon 5 ans pendant lesquels Daphné Brissette (Canailles) et Guillaume Chiasson (Ponctuation) avaient brigué pour célébrer leurs intérêts communs (susmentionnés, + la musique aussi) - pour s'octroyer des terrains nouveaux, en marge de leurs pratiques précédentes. 

Intégrant Etienne Côté (Canailles, Lumière), Mélissa Fortin (Canailles) et Alex Burger (lui-même) à son giron, le duo est devenu groupe et s’est mis à jammer en capable, transformant des premières versions grâce au regard extérieur des nouveaux arrivés, pis ça a commencé à se passer pour vrai. Premier résultat, Bon Enfant (l’album) était un florilège de pop québ aux grooves bien-allants, précisé de flottements tie-dye, de disco anatolien, de rock saharien, de vibrantes portées nancysinatraesques et de timbres cordiaux et fébriles (les timbres - le groupe insiste sur les timbres, les timbres ça se définit et c’est important). Des chansons co-écrites par Brissette et Chiasson, en français, mais en français poilu - comme Molière avec une barbe. 


Se faisant d’abord un nom en assurant quelques pas pires premières parties, Bon Enfant commençait sa propre tournée en 2020 quand toute a pris l’bord au profit du ralenti. Chauffé par un engouement qui allait grandissant malgré l’absence de shows, le groupe s’est lancé dans la suite, s’érigeant des bulles pour se rapprocher encore davantage. Les efforts concentrés ont débouché sur une synergie et une palette sonore plus grandes, conservant les aspects préférés du premier et chassant les restrictions préventives - dans leurs mots : « moins tie-dye, plus motté, plus Histoire sans fin que Game of Thrones, mais y a encore du vin ». Le spectre des inspirations transmutées se déplace de début 70 à fin 70 / début 80, bigarré et gorgé de musique à l’image projetant l’imaginaire et le fabuleux, de disco naïf et emprunté, de hard et de glam rock, de pop nippone et de folk pastoral, en esquivant le pastiche toujours, pour façonner un rock québ perméable et ouvert. L’écriture va, large et orfévrée, dans un sens; les arrangements, idem, dans un autre : un clash exploité qui ouvre encore plus de portes. 


Leur dernier album Diorama, réalisé par Emmanuel Éthier, est sorti sous Duprince à l’automne 2021 - juste à temps pour saisir à nouveau les résonances de ce qui nous unit. Bon Enfant : c’est à nous autres, ça, et tout le monde vous souhaite une excellente journée.

 
Diorama, fait du bien à l’âme, même sur les chansons plus aigres-douces comme Cinéma, L’amour à sens unique et Chagrin d’amour. Un autre savoureux recueil de chansons rock psychédéliques aux refrains bien tournés, appuyés par des orchestrations touffues de guitares et de vieux claviers.
— Le Devoir
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